[Camp] Le repos des Guerriers

*Soupir en silence face au feu de bois, l'air est frais, les flammes lui lechent le visage, l'ambiance est à la détente*

Argh...mes côtes me font mal, c'est atrosse...

*Sirote un peu de sa potion, liquide qu'il a toujours trouvé degueulasse*


Vivement le retour à la cité, le quartier seymour me manque...

*Observe ses compagnons la fatigue sur le visage. Il a mal à la tête. Termine ca potion avec une grimace sur la face, se couche sur le dos et s'endors*

*Allongé sur un tapis de mousse dans l'obscurité, Strife observe songeur le ciel étoilé.*

Même l'Epée du Savoir ignore certaines choses... Comme ce qu'il y'a au-delà de ce monde par exemple. Qui sait ce qui nous attend dans les millénaires futurs? Vu sous cet angle, demain a bien peu d'importance.

*Strife s'assoit contre un arbre à quelques mètres du feu, remonte son col et s'assoupit lentement, après avoir vérifé qu'il n'y ait aucun bruit ni mouvement supect dans l'obscurité alentours. Un légère inquiètude trouble cependant son sommeil: l'Epée du Savoir est incapable d'analyser la nature exacte des sphères bleues.*

*allongé à même le sol, comme tout bon barbare qui se respecte*
Aïe mon épaule...C'est pas grand chose, mais c'est profond. Et ca a aparement un peu touché le tendon.
C'est le moment d'essayer l'incantation de Thad'bhou le sage... Prévue pour guérir les plaies profondes.
*marmonne entre ses dents une incantation écorchée*

-Hé les gars, CA MARCHE!
*avec la voix d'un canard dans une bulle d'hélium*
-Hé m*****.... C'est bon je prends une potion.

*se couche sur le coté droit tournant le dos à tout le monde et déprimant tout seul tandis que tout le monde se marre*

*Le Mage Noir sourit en entendant la voix de Donitab mais il n'a pas la force d'en rire... La Magie sidéral lui a prit beaucoup de MP, et la Lame Enflammée a fini de les vider... Il cherche donc un ether sous sa robe de mage noir et regarde fixement la couleur rougeoyante du liquide*

*murmure* Tant de puissance dans une si petite potion...

*boit lentement son contenu et rebouche doucement la fiole avant de la ranger avec les autres, pleines*

Je me souviens d'un voyage, commenca-t-il à l'attention de la communauté. Nous n'étions que 4. Un guerrier nommé Locke, un voleur se faisant appeler Djidane, une magicienne du nom d'Edealesca, et moi-même, le mage noir...

Le Roi de Limblumécia nous avait demandé de lui rapporter l'épée du Lion, pour le salue de sa Cité, soit disant... A l'époque, j'avais besoin d'argent, plus que jamais. Je suis donc parti à la recherche de cet artefact avec mes nouveaux compagnions.

La route était longue... Nous devions traverser des montagnes, des déserts, des marais... Tout ça pour la survie de Limblumécia.. Nous aurions abandonné nombre de fois si seulement la somme à la clé n'était pas si élevée... Le roi avait promis 100 000 gils à chacun si nous rapportions l'épée du Lion...

Nous avons retrouvé la montagne au sommet de laquelle reposait l'épée mais arrivés en haut, nous sommes tombés sur les 12 chevaliers de l'épée. Je ne possédais pas autant de magie que maintenant. Mon meilleur sort était la Foudre X, c'est dire !

Après 5 Foudres X, je n'avais plus de MP et il restait encore 9 Chevaliers. Djidane mourut le premier, suivit d'Edealesca. Encore 6 Chevaliers et il n'y avait plus que Locke et moi... Moi sans magie... J'étais impuissant, ne pouvant plus me défendre, je laissais toute la tâche à Locke qui réussit à tuer les derniers Chevaliers avant de mourir lui-même..

Je me retrouvais seul, sans magie mais avec l'épée du Lion. Je devais la rapporter au Roi. Le trajet fut l'un des plus longs de ma Vie. Je dus apprendre à me battre à l'épée pour survivre. Je réussis à amener l'épée au Roi et il me paya 400 000 gils...

Depuis ce temps là, je me suis promis de ne jamais partir en quête sans fioles de MP et sans arme autre que mon Baton.. C'est pourquoi avec les 400 000 gils, je me suis acheté Murasame, mon Katana, dans la meilleure forge du monde, et que j'ai appris à le manier.

*relève la tête vers la compagnie attentive*

Retenez bien ceci mes amis : chaque voyage est un apprentissage, il faut savoir en tirer son enseignement et ne plus refaire les même erreurs. Dans la quête de la pierre perdue du Roi Cid, nous n'avons perdus personne, nous n'avons que des blessés.. c'est une chance. Mais rappelez-vous les erreurs que vous avez faites lors du combat, retenez les, ne les refaites plus...

*le mage noir baissa son chapeau sur ses yeux qui ne brillaient que d'une faible intensité, comme s'il y avait de la tristesse en eux*

Si quelqu'un parmis nous peut nous faire partager son savoir sur un voyage, qu'il le fasse...

Je me rapelle... Lors de l'obtention de l'AOC "guerrier", les barbares subissent une épreuve. Elle se déroule par groupe de 5. Je me souvien, nous étions 5 participants. Il y avait:
-moi, Donitab: 20 ans, avec un marteau de guerre plus léger que celui ci
-Topidar: 18ans, avec un glaive recourbé et un bouclier léger en bois.
-Juderos:19ans: une lance avec une point en bronze.
-Galida:18ans, avec deux dagues de combat rapprochées en acier.
-Ankinosa:17ans avec une épée longue à deux mains en bronze.

On nous avait regroupé au sommet de la colline derrière le village... Le sage, Rominégo, nous avait dit: "Le test est simple. On va donner à l'un d'entre vous une relique. Il va s'agir pour celui-ci de la conserver pour gagner. Il devra revenir au village dans deux semaines. Les autres devront revenir le plus vite possible avec cette relique. Oui, vous avez été préparé à cette épreuve. Il ne peut y avoir qu'un seul gagnant. Bonne chance."

Nous sommes alors rentré chacun dans notre tente afin que l'on nous prépare. On m'a lavé, soigné, massé, et habillé. Des vêtements légers et pratiques, ne ressemblant en rien à une armure. Rominégo est entré dans ma tente et m'a donné une amulette brillante. La relique autour de laquelle tenait le test. Sans rien dire, je l'ai mlise autour de mon cou et je l'ai soigneusement cachée sous mes vêtements. Je suis ensuite sorti de ma tente.
Tout le monde est parti, nous n'étions plus que nous 5 sur la colline. Une bougie brûlait. La consigne avait été claire: pas un geste tant que la bougie n'est pas éteinte. Le vent se leva... La flamme vacilla puis s'éteignit.
Aussitot, Topidar, Juderos et Galida courrurent et partirent se cacher dans les buissons derrière nous. J'allai faire de même quand l'épée de Ankinosa se ficha dans le sol devant moi.
Il m'attaqua. Je lui demandai pourquoi il faisait cela:
"T'es stupide! Il faut éliminer la concurrence! Et avec un peu de chance, c'est toi qui a la relique!"
Ses 17 ans ne l'avaient pas bien formé au duel... Je ne voulait pas le blesser... mais il m'ataquait avec trop d'acharnement. Ce serait un combat à mort. Profitant de mes 3 années d'éxpériences supplémentaires, je l'ai rapidement maitrisé. Il était blessé, par terre, mais bougeait encore. Je lachai un peu ma prise, il m'entailla profondément le bras. Par réflexe, je lui fracassait le crâne. J'avais tué mon camarade. Je m'en voulait. Je partis dans les bois. Je n'entendais plus personne. J'ai vécu les pires jours de ma vie. Toujours à gueter les ennemis, et à tuer des animlaux pour survivre. Un jour j'entendis un cri déchirant. Topidar. Je courut vers le cri, et le vit par terre gisant dans une marre de sang. Un autre cri se fit entendre... Galida. Le cri venait d'un peu plus loin... Je m'approchait, sur mes gardes... et vit un ours noir le dévorer.
Le temps passait...
Le matin du dernier jour de l'épreuve, je me mis en route vers le village.
En chemin, je vis une silhouette se dessiner devant moi...
Juderos.
On s'arreta à distance raisonnable l'un de l'autre. Il me dit: "Tu sais ce qu'il est arrivé aux autres...
-oui...
-Tous morts... Tu sais donc comme moi qui détient la relique...
-Oui, evidement.
-Je suppose qu'il ne nous reste pas le choix...
-je le crois aussi... Bonne chance, et adieu.
-Oui... Toi aussi."
Sur ce nous nous jetâmes l'un sur l'autre. Sa lance virevoltait à la même vitesse que ma masse. Le combat fut rude et acharné. Nous étions de même niveau. Finalement j'ai eu le dessus... De peu. Je lui portait un coup violent dans la tempe. Il s'écroula par terre, mort. Je regrettais encore une fois mon geste. Souadin, un détail attira mon attention...
Autour du cou sans vie de Juderos se trouvait une amulette exactement identique à la mienne. Je compris alors tout. Le concours, les agissements des autres... Tous les participants avaient évidement eu leur amulette.
La leçon était rude: j avais tué deux de mes camarades, et pour une raison qui se trouvait être inexistante.

Je suis rentré au village. On ne dit pas un mot lorsque je tendis les deux amulettes au chef.Le message était clair... Les apparences sont trompeuses.... Il ne faut pas se battre sans être sur de pourquoi on sze bat. La confiance envers les membres d'un groupe est des plus importantes...
*se redresse et fait face à la compagnie*
Vous voyez, il est très important de se faire confiance... Si nous n'avons perdu personne c'est en partie pour la confiance qui règne. Mais il faut aussi avoir clairement les limites en vue. Par exemple, il serait impossible à Gandike de manier ma masse de guerre, comme je ne pourrais jamais utiliser son bâton.
Mas amis, ceci furent les jours les plus sombres de ma vie. La vie de barbare guerrier commence ainsi: par la plus grosse défaite possible.

*Strife relève la tête et ouvre lentement ses yeux, emplits d'une expression railleuse mais mélancolique, puis porte son regard sur le groupe.*

Il est malheureusement en ce monde des puissances qui rendent toute confiance obsolète et effacent tout espoir...

*Son regard se fixe sur les flammes dansantes et crépitantes du feu de camp comme ses souvenirs emplissent sa vue d'images du passé.*

Lorsque je n'était encore qu'un jeune adolescent, je vivais dans les taudis avec d'autres orphelins. L'orphelinat avait brûlé lors du Grand Incendie et nous étions une poignée d'enfants à avoir établi notre "base" dans une masure abandonnée et partiellement épargnée par les flammes. Nous vivions de petits boulots et nous nous serrions les coudes. Nous ne mangions pas toujours à notre faim mais nous étions heureux de vivre. Il y'avait parmi nous Bixx, forte tête au grand coeur, Wudjee, un garçon timide qui veillait toujours sur les autres, Aldria l'épéiste, toujours prête à relever un défi, Coahl le Feinteux, pessimiste mais toujours prêt à faire le pitre et à blaguer quand il ne faisait pas les poches des badeaux, et quelques autres. Ma meilleure amie était une jeune mage extrèmement douée nommée Sophia, qui tentait toujours de rassurer les autres quand quelque chose allait mal. Nous partagions tout et ne nous séparions que rarement. Quand j'y repense, c'est sûrement les plus beaux jours qu'il m'ait été donné de vivre.

Un jour nous apprîmes qu'un puissant mage de la partie supérieure, celle qui avait été reconstruite et embellie, offrait une grande récompense à qui lui ramènerait la Pierre Noire, une Materia qui s'était naturellement formée dans une grotte du mont Lebinyama réputé pour baigner dans des brumes éternelles et où vivent, paraît-il, des créatures démoniaques.
L'idée n'était pas rassurante et nous n'étions qu'un petit groupe à décider d'y aller.
Nous arrivions au pied de la montagne et la brume nous empêchait de voir ce qui pouvait se trouver à deux-cent mètres au-dessus de nous. Mais ce que nous avions vu en traversant les bois nous indiquait que des mercenaires bien moins scrupuleux que nous étaient sur l'affaire... Des brutes prêtes à tuer pour empocher la récompense. Notre route était parsemée de cadavres. L'ascension commença, la pente raidissant insensiblement kilomètre après kilomètre, les arbres, noirs et décharnés, se faisant de plus en plus rares et finissant par nous servir d'appuis sur les pentes les plus praticables, au dénivelé jouant au yoyo: tantôt nous escaladions, tantôt nous déboulions le long des pentes, parfois un plat nous permettait de faire une pause ou d'établir un campement. Nous fûmes une fois surprits par deux mercenaires qui, nous sous-estimant, attaquèrent à notre simple vue. Impossible de négocier, nous tirèrent les armes et incantâmes les sorts. Nous en étions sortis avec quelques bleus et entailles tandis que nos adversaires finissaient aux loups. Des loups sombres et menaçants semblant se déplacer dans les ombres de la nuit tombante. Nous déguerpîmes pendant qu'ils dévoraient nos victimes et nous en perdîmes le sommeil.

Au bout de cinq jours nous arrivions à la grotte, plus par chance que par nos talents d'orientation, habitués à la ville comme nous étions. Un spectacle barbare s'offrit alors à nos yeux horrifiés. Sortant de la grotte, un des mercenaires sortait en serrant la Pierre Noire dans sa main. Ses vêtements étaient couverts de sang et une aura sombre l'entourait, en fait les brumes semblaient émaner de lui. S'ensuivit une altercation avec ses compagnons, plutôt agités, qui finirent par dresser leurs armes contre lui. Alors il les fixa d'un regard de dément et les affronta. Sa force était collossale, pourtant l'homme était de stature moyenne. Et même lorsque la main avec laquelle il tenait son arme fut coupée il chargea avec les dents, les pieds, les coudes, le moignon même! Il restaient deux de ses anciens compagnos, qui reculaient de terreur tandis que de la pierre sortaient des loups semblables à ceux que nous avions vus, qui ouvrirent des geules plus grandes que leur propre corps et dévorèrent, que dis-je? Gobèrent les cadavres encore chauds qui gîsaient, agonisants. Et les brumes se condensèrent autour de l'homme, et sa main repoussa. Alors notre surprise se dissipait et, luttant contre l'horreur, nous décidâmes d'arrèter ce monstre. Bixx fut le premier à s'élancer à l'aide des deux hommes de main, rapidement suivi par Wudjee qui, je pense, voulait plutôt le persuader de faire demi-tour. Les quatre se dressèrent contre le fou-furieux et je me précipitait aussi alors qu'Aldria sortait sa lame de son fourreau de fortune. Nous peinèrent et Bixx fut transpercé de l'épée usée du dément, qui le jeta ensuite au sol d'un geste tandis qu'à ma droite Wudjee poussait d'affreux hurlements, emporté par les sombres bêtes aux dents longues et aux pupilles ardentes. Les "loups" s'étaient déjà occupé d'un des mercenaires et le dernier venait de se faire briser la nuque d'un coup de pommeau d'épée bien placé. Le regard fou se posa sur moi et Aldria quand Coahl, qui s'était discrètement glissé dans le dos de notre adversaire, fit voler la Pierre Noire hors de sa main d'un coup de dague bien placé. Aldria en profita pour prendre le dessus sur la créature décontenancée et lui porta un coup fatal. Le cadavre de l'homme était frêle et ses orbites vides. Il se consuma et devint bruma à son tour. Entre pleurs et vomissements je portait mon attention sur la Materia sombre. La récompense ne suffirait pas à effacer l'ardoise. Je ramassais la pierre et c'est alors que les ombres submergèrent mon esprit. Je ne me controllait plus et je fonçais déjà sur mes compagnons. Je comprit alors que la pierre ne pouvait être maîtrisée que par un mage d'une puissance incommensurable, et devait être maniée avec soin. Aldria, Coahl et moi-même survècurent ce jour-là grâce à Sophia. Utilisant un sort prohibé, elle scella le pouvoir de la pierre au prix de sa vie et de son âme. Ce gantelet noir est en réalité mon bras corrompu par la Materia sombre qui y est restée incrustée et qui renferme l'âme de mon amie tandis que je porte certains de ses traits. Depuis j'ai coupé les ponts avec les autres, je ne voulaient pas qu'ils pensent à ce jour à chaque fois que leur regard se porte sur mon visage.
Je revois parfoit mes anciens compagnons quand je suis de passage à la Cité Bleue. Coahl a perdu un pouce en me repoussant, ce qui ne l'a pas empêché de devenir un excellent... chasseur de trésors. Si un jour vous cherchez des informations adressez-vous à lui de ma part. Je n'ai plus sa confiance mais il me rend parfois service au nom d'une vieille amitié et des fonds que je verse au groupe quand j'en ai l'occasion. Quand à Aldria je la retrouve tous les ans au tournoi des combattants, fidèle à sa réputation de fine lame.
Quand au mage, il s'est révélé être adepte d'arts obscurs ainsi qu'un puissant alchimiste qui s'est enfui quand j'ai voulu le confronter, bien qu'il avait l'air plus puissant que je ne l'était alors. Je le cherche encore, il me doit paiement. De sa vie, et de réponses... Mais ça c'est personnel.

*La mélancolie a quitté le regard de Strife qui reste pensif. Puis il reprend ses esprits.*

On ne sait jamais ce qui peut surgir des zones obscures de ce monde. Lorsque tout va mal mieux vaut être prêt car on ne peut compter que sur soi-même.

*écoute attentivement les autres raconter leurs histoires*
Pfff... Cette équipe a apparement un morceau d'XP assez enorme...
*se redresse et regarde sa blessure qui commence à cicatriser sous l'effet de la potion*
Bon... reprenons des forces.
*Tend l'oreille, attentif*
Aucune bêbête à proximité... impec.
*s'allonge, tournant le dos à ses compagnons, et s'endort lentement*

Le soleil se lève enfin, apportant avec lui la chaleur d'une nouvelle journée. La compagnie se réveille doucement, s'enroulant dans leurs couvertures, rechignant à en sortir.

Gandike le Mage Noir décide d'ouvrir les yeux et voit une étrange créature en train de fouiller dans les bagages

*se lève précipitemment, saisit son baton et le pointe sous le nez de la créature, une aura rougeatre animant le baton*

Gand : Qui es-tu toi ?! Que cherches-tu dans nos affaires ?! ......... Réponds !

Créature : Mes pas ne sont pas guidés sur le chemin de la perfidie, Ô grand Mage Noir... Je cherchais... *rougit* ... en fait je cherchais du sel...

Gand : Du sel ?!

Créature : oui... j'ai attrapé un gobelin tout à l'heure. Je l'ai donc mis à cuire, en espérant vous faire plaisir à votre réveil... Mais j'ai besoin de sel...

Gand *baissant son baton* : du Gobelin... ça se mange ça ?

Créature : Bien sûr, c'est une viande très tendre, si elle est bien cuisinée... ^_^

*Fouille dans son sac et en ressort du sel*

Gand : voilà du sel... Mais pourquoi nous aides-tu ?

Créature : la route vers la Cité Bleue est encore longue, vous avez besoin de force.

Gand : Comment sais-tu que nous venons de la Cité Bleue ?

Créature : Je sais beaucoup de choses...

Gand : Je crois que je devrai me contenter de cette réponses n'est-ce pas ?

Créature : oui... Réveille les autres Gandike, le déjeuner est bientot prêt.

*va réveiller les autres tout en se demandant comment la créature connait son nom*

Gueue? Hein? Quoi? Oui Oui! Je me leve.

*Se leve peniblement, ayant mal partout etant donne la racine qui se trouvait sous son dos qu'il n'avait pas vu avant...*

*Remarque une etrange creature qui repart dans la foret avec du sel a la main*

Tien! Mais...Qui c'est celui la?

*Regarde Gandike qui ne lui donna pas de reponse et partit reveiller les autres*

Bah si Gandike n'a rien fait c'est que ce n'est pas la peine de se poser la question...

*Part s'etirer bruyament dans un coin*


(Je suis desole pour l'orthographe, mais j'ai un clavier anglais maintenant je ne peux plus faire les accents , mais bon l'important c'est de me faire comprendre!)

*sent une main lui secouer l'épaule*
"Tu sais ce qu'il en coute de réveiller un barbare, pauvre créature mortelle de pacotille?!" *dans une voix ensomeillée*

*Ouvre les yeux et apercoit le regard rouge et colérique de Gandike. Se lève en un bond et rougit*

"Euuuuh.... désolé... une mauvaise habitude que j'ai prise quand je vivais seul dans la nature...."
*Voit Gandike qui hausse les épaules et repart vaquer à ses occupations*
Pfffff...encore une longue journée qui commence...
*fait craquer tous les os de sa colonne vertébrale*
"Rah ca fait du bien... Mais...tiens..... ca sent le gobelin grillé ici.... Avec.... non je me trompe pas... Une sauce aux capres!!!"
*Voit la communauté (presque) reveillée.*
On a pas été attaqué pendant la nuit....bon signe ca!

AAAAH J'AI FAIM!

*Tape un sprint mal assure en direction de la carcasse griller pour se rendre compte qu'il avait oublie sa gamelle. Retourne la chercher puis au moment de repartir voit qu'il y a deja une queue enorme, tous prets avec leurs gamelles*

L'important est de rester calme....

*S'avance lentement vers ses compagnons, avec un sourire fige pas tres convaincant *

Quelle belle journee!!!!!!!

*Strife fixe la créature, peu confiant. Il ne s'approche pas du feu. Il fouille dans une petite sacoche dissimulée sous ses vêtements et en sort un maigre morceau de viande sèche qui constituera son repas.*

Il y'a un point d'eau dans le périmètre, je vais tenter de le localiser.

*Il se lève et s'étire puis ramasse son épée et son fourreau qu'il passe dans son dos.*

Si je ne suis pas revenu dans une heure ne m'attendez pas. Je pourrai vous retrouver facilement.

*Il jette un regard suspicieux à la petite créature avant de s'éloigner dans l'ombre des arbres.*

Et ne relâchez pas votre garde!

*Regarde Strife s'éloigner et entend sa mise en garde.*
Je connais pas cette créature... Pas confiance donc...Elle ressembloe un peu à rien de commun en plus...
*recoit une part de gobelin relativement belle*
Oh remarque une peu de confiance a jamais fait de mal à personne!

*Commence à manger*
MMMMMMMMMMMMMHHHH......
BON! réussie cette sauce!
"OH!!! Le croupion!"
*regarde ses compagnons*
"Vous le voulez?"
*air écoeuré de la compagnie entière*
"Bon.... c'est le meilleur!!!!"

*Mange rapidement son gobelin aux capres, se lèche les doigts*